Caractère Je suis ... quelqu'un d'optimiste, ou du moins, j'essaie de l'être. Quand je suis d'humeur maussade, j'essaie de voir le côté de la chose, même si c'est souvent dur. Même si la vie en ce moment est plus qu'horrible, j'espère, je prie pour qu'un jour, les choses reviennent comme elles étaient, il faut garder espoir non ? Bon j'avoue, je suis un peu naif sur les bords, et un peu crédule, et un peu inconscient aussi. Bon carrément inconscient ! Je suis un dingue de dragon ! Je vis dragon, je dors dragon, je mange dra ... non quand même pas, faut pas déconner non plus. J'espère pouvoir vivre avec eux, je les trouve fascinant. J'aimerais vraiment travailler avec eux.

Le commencement des districts  Mon entrée dans les districts ? Une horreur. J'ai vu mon propre emprisonnement, une prison dorée, non une prison avec des barreaux rouillés. J'ai hurlé intérieurement, pleurant de rage. J'avais la chance d'être dans le district 3, mais je voulais voyager, je voulais partir d'ici, je ne supportais pas l'idée de caste, de qui était meilleur ou non. Mais personne n'a que faire de mon avis. J'espère juste pouvoir en sortir, être libre comme avant.

Pseudo Thomas Ton âge 15 ans Comment as-tu connu The Blood Games ? Un bon conseil :) As-tu un double compte ? non   Ton personnage est : Un inventé Une remarque ? Je pense pouvoir répondre le mercredi et le week end.

"Réfléchir avant d'agir"  

Mon histoire ? Elle commence avant ma naissance, quand mes parents se sont rencontrés ? Ouais, sûrement, eh bien elle, commence à Tokyo, au Japon. Vous allez me dire:  «Mais qu'est-ce qu'on s'en fiche du Japon ! »

Je vous réponds oui, mais non. Je viens de là-bas, même si je vis actuellement en Grande-Bretagne, le Japon, c'est mon pays, j'aime ses montagnes, ses forêts, sa mythologie. Tout est si différent d'ici ! En Angleterre, les amoureux se tiennent la main, chez nous, il y a une distance entre les deux amants quand ils sont en public. C'est étrange de ne pas pouvoir montrer son amour à quelqu'un ? Si on aime quelqu'un, il faut le dire, enfin c'est ce que m'a dit mon père, moi, je ne connais rien à l'amour.

Doooonc, revenons à notre histoire, elle commence en avril 1958, à la fête d'Hanami, Hanami est la fête qui célèbre les cerisiers en fleur, c'est très beau, c'est idyllique comme vision même, voir les pétales de fleurs virevolter dans le ciel , c'est magnifique, ça vaut vraiment le coup de venir au Japon juste pour ça. Justement ! Mon père est venu d'Angleterre pour voir l'Hanami, il se promenait dans un parc quand il a rencontré ma mère, je ne vous fais pas de dessin, ils sont tombés amoureux l'un de l'autre direct, un véritable coup de foudre ! Seulement, parce qu'il y a un hic, on n'épouse pas un inconnu. Et on n'épouse pas encore moins un étranger. Les réunions de famille sont tendues quand on aborde le sujet d'ailleurs, ce gros sentiment de gêne, vous le connaissez tous, nous l'avons tous vécu.
Après moult tentatives pour convaincre sa belle-famille, mon père a décidé d'utiliser la magie, il était amoureux de ma mère et il était hors de question qu'il épouse une autre fille. Seulement, ma mère aussi est une sorcière,
du coup, quand il a sorti sa baguette magique devant la belle-famille, il y a eu comme un frisson, mon grand-père maternel a regardé fixement mon père et puis il a souri. Je peux vous assurer une chose, c'est que mon grand-père ne sourit pas souvent. Mais l'idée que son gendre soit un sorcier lui a plu, au moins, sa fille bien-aimée serait en sécurité, enfin, plus qu'avec un moldu. Et puis, mon père venait d'une famille aisée, encore mieux. Donc je résume, sorcier et riche. Et beau aussi, enfin ça mon grand-père s'en fichait pas mal en fait.
Il a bien voulu que mes parents puissent se marier, au bout de deux ans d'âpres négociations entre mon père et mon grand-père. Seulement, mon grand-père (toujours lui, hein?) a refusé que mes parents partent vivre en Angleterre.

Mais, après des années d'efforts, je suis parti vivre en Angleterre, mais j'ai jamais su comment mon grand-père avait accepté de nous laisser partir, si je pouvais, j'aimerais bien lui demander.

Comme vous avez dû le voir, je suis un passionné de dragons. Je les vénère, ils sont si puissants, si féroces mais ils peuvent parfois faire preuve de bonté, du moins, les dragons asiatiques, qui sont connus pour être des êtres sages. Les dragons européens ont plus de ... mordant. Je devais avoir 7 ans quand j'ai rencontré mon premier dragon. Je vivais encore en Asie à l'époque, me promenant dans les bois, je n'avais peur de rien à l'époque, intrépide, ignorant et un peu suicidaire.
Je découvrais le monde, quand je l'ai rencontré: un dragon rouge, aux écailles luisantes, au regard d'ambre avec cette immense pupille verticale qui me fixait. Ses dents aussi grandes que mes bras, pour lui, je ne devais même pas faire office de cure-dent, un bâton à mâcher peut-être ?

J'ai hurlé, comme un abruti, à deux doigts de m'évanouir comme une jeune fille en fleur, je me suis cogné la tête, sombrant dans l'inconscience.

Il m'a laissé en vie, je devais être trop gringalet à son goût, il a étendu ses ailes immenses et il s'est envolé au loin, à la recherche d'un abri où il pourrait sûrement dormir tranquillement. J'ai été émerveillé, subjugué par tant de puissance dans un seul corps. A cet instant, je sus que je voulais vivre parmi eux. Je voulais devenir dracologue, vous savez, vous avez les anthropologues pour l'étude de l'Homme, le dracologue, c'est la même chose pour les dragons, soyez clément, à l'époque, je trouvai le nom super cool.

Si j'avais su.

J'ai fait ma rentrée à Poudlard en tant qu'élève de Poufsouffle, les loyaux, les fidèles, les véritables amis. Je n'étais pas le meilleur élève, ni le plus mauvais, j'étais heureux,même si je ne sentais pas trop à ma place dans cette univers château médiéval qui ne ressemblait en rien à ce que j'avais connu jusqu'à lors. J'étais un sang-mêlé, au trois-quart pur, mais un sang-mêlé quand même. Ce quart de sang moldu me pourrissait la vie, je n'étais ni un sang pur, mais ni un moldu, un gars dans le milieu. Je détestais être classé à cause de mon sang. Mais j'ai vite abandonné cette idée, comprenant que seul mes capacités pourraient m’élever.

En 7ème année, me mettant enfin au travail, j'avais réussi à avoir des notes correctes, j'étais loin des meilleurs qui frissaient la perfection, mais je n'avais pas à me plaindre, je me sentais bien. Ma famille était géniale, elle me suivait, elle me soutenait, elle m'aimait. J'avais des amis sur qui compter et un rêve qui était à porter de main. Tout pour réussir, tout pour être heureux.

Si j'avais su.

A cause de cet incident, toute ma vie à basculé.